Le « chuli » sur lequel je cuisine, et le pain que j’ai cuit. J’ai appris à nettoyer le « chuli » et le sol aux alentours avec un chiffon trempé dans un mélange désinfectant d’argile, de bouse de vache et d’eau. Quand on le nettoie, on en profite aussi pour réparer le sol là où c’est nécessaire, avec le même mélange.
De l’intérieur, la porte se ferme avec un gros bâton. Cette porte m’arrive au niveau du menton, je me suis cogné la tête quelques fois.
Une de mes 2 « fenêtres ». La deuxième est presque 2 fois plus grande !
J’apprends à faire de bons chapatis (galettes fines de farine de blé entier) : moins facile qu’il n’y paraît ! Mes chapatis étaient très secs au début, ils sont maintenant presque dignes de ceux d’une femme indienne (ou d’une petite fille indienne, puisqu’elles apprennent cet art dans leur enfance).
Le plafond de ma chambre et le haut du mur qui sépare ma chambre de celle des voisins (c’est presque comme si on vivait chez eux puisqu’on entend tout). 2 des gros chatons de l’ashram viennent dormir, la nuit, sur les sacs de jute situés sur les bâtons, au-dessus de mon lit.
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